par André Pascual |
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A r t i c l e s |
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1- Introduction
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1- Introduction
Pendant longtemps, le dessin vectoriel
a été synonyme d'illustrations toujours précises quant
aux contours, mais désespérément "plates". La raison
en incombait à l'impossibilité de remplir des formes tracées
autrement que par des aplats de couleur ou, à la rigueur, par des
motifs bitmap. Il en résultait un aspect BD, vraiment pas réaliste,
ce qui, par ailleurs, peut être un effet recherché. Mais dès
que l'on veut produire une représentation de la réalité
la plus exacte possible, il faut tenir compte du fait que les objets ont
une épaisseur et qu'ils sont rarement vus dans un plan parallèle
à leur face la plus significative. Les couleurs perçues de
l'objet ne sont donc pas uniformes; elles varient de clair à sombre
dans la même teinte -la couleur proprement dite selon la définition
du modèle TSL-, ou même d'une teinte à une autre, du
rouge vers bleu par exemple. Et si l'objet croise une zone d'ombre, la
partie colorée concernée verra sa luminosité diminuer
c'est à dire, toujours selon le modèle TSL, que la couleur
perçue devra contenir un pourcentage de noir plus ou moins important.
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