mardi 6 décembre 2011, Bonjour, Le mardi 6 décembre 2011 à 00:09:31, menfin@... a écrit :
Vous me direz ; s'ils partagent le courriel, vraisemblablement ils partagent l'adresse physique : et si une convoc arrive pour l'un, il peut en informer l'autre.
Il faut faire perdre cette foutue habitude des adresses électroniques communes ; c'est strictement anormal que l'un lise le courrier adressé à l'autre.
Dans l'absolu ça marche, mais légalement c'est limite.
Ce qui est légal, c'est qu'une adresse électronique donnant accès à une boîte aux lettres (BAL) est la propriété incessible ***d'une seule personne*** qui est responsable du traitement du courrier électronique qu'elle reçoit et émet sous ***son*** identité. Les machins genre dedenenette@xxxxxxxxx n'ont aucune valeur (légale). Il ne faut pas confondre la boîte aux lettres du rez-de-chaussée qui est au nom de M., Mme et les enfants avec le contenu de ladite boîte aux lettres qui peut avoir des lettres adressées à chacun des individus, personne n'ayant le droit de lire le courrier adressé à l'autre. Il est anormal que M. prenne connaissance de la convocation de Mme et inversement. Pour ma part, je veux pouvoir écrire à M. sans que Mme soit destinataire du même courrier, même si l'en-tête genre "Bonjour Dédé" confirme que Mme n'est pas concernée. Si M. en parle à Mme, c'est son problème mais je veux pouvoir m'adresser à M. sans qu'automatiquement Mme ait une copie. C'est un peu comme les adresses contact@xxxxxxxxxxx qui sont gérées par une cohorte de secrétaires. Je n'apprécie pas qu'on adapte des applicatifs à un usage déformé des outils électroniques [ce n'est que mon avis;)]. Bonne nuit ;) Roland